Syndicat d'Initiative de Sainte-Féréole


Historique de Sainte-Féréole

On trouve trace de Sainte-Féréole en 1319. Jean XXII l'incorpore à l'église de Tulle.

De part sa force et sa situation sur l'unique route de Tulle, le château de Sainte-Féréole est très exposé. Le duc anglais de Lancastre le prend en 1374 et se le fait enlever par le duc Louis de Bourbon.

Puis en 1495, Clémént de Brillac demeure au château de Sainte-Féréole, avant d'entrer dans Tulle.

Vers le 1er janvier 1554, Henri de Mesme y publie l'édit royal, rétablissant la sénéchaussée de Tulle, supprimée depuis un an. Le choix de la localité est dû à l'entre deux de l'endroit par rapport aux deux villes rivales : Tulle et Brive.

En 1577, Geogffroy de Vivans, un des chefs des Huguenots, occupe Sainte-Féréole. Six ans après, les catholiques recouvre l'avantage grâce à d'Aubeterre, Sénéchal du Périgord en 1586.

En 1629, Pierre Vacherie, peintre natif de l'endroit, fait restaurer l'église.

En 1643, Sainte-Féréole a obtenu du "roy, quatre foyres l'an". La 1ère le jour de Ste-Féréole, 19 septembre, la 2ème le jour de Ste-Viviane, le 2 décembre, la 3ème le jour de Ste-Agnès, 21 janvier, et la 4ème le 8 mai, et tous les jeudis de l'an un marché.

En 1666, Monsieur de Bouillon (Vicomte de Turenne) est seigneur de 9 villages.

Durant la Révolution Française, Sainte-Féréole sera rebaptisée Mont-Frimaire.

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